Cassez une poupée pour évacuer le stress
Souvent, nous avons simplement besoin de frapper quelque chose pour évacuer le stress, la colère, l'anxiété ou la frustration refoulés. Le téléchargement du fichier APK nous fournit une poupée de chiffon virtuelle pour devenir la victime parfaite.
Une poupée de chiffon sur laquelle vous pouvez déverser vos frustrations
Kick The Rainbow Friends est un curieux simulateur dans lequel on peut frapper à volonté un personnage bleu résigné inspiré de Blue, de Rainbow Friends. Il n'y a pas d'autre but que de se sentir un peu mieux après avoir battu le petit singe avec toutes sortes d'armes et d'outils.
La mécanique est extrêmement simple. En haut de l'interface, nous avons le personnage à notre merci. D'autre part, dans la zone inférieure, il y a cinq catégories d'objets :
- Explosifs.
- Mêlée.
- Des trucs.
- Des armes.
- Décoration.
Dans chaque galerie, on trouve de tout : de l'acide, des fourmilières, des lames, des grenades, des roquettes, des trous noirs, des ruches d'abeilles... De plus, dans la section décoration, on trouve des skins pour le personnage et le décor.
Un jeu anti-stress où vous pouvez gifler les monstres bleus et oublier votre colère.
Pour utiliser l'une des armes ou l'un des objets de torture, il suffit d'appuyer sur le bouton correspondant et de regarder l'effet produit lorsque la muppet implore la pitié. L'inconvénient est que de nombreux éléments sont bloqués par des publicités. De plus, la publicité est une constante pendant le jeu, bien qu'elle puisse être facilement supprimée si vous jouez sans connexion Internet. Dans ce cas, cependant, nous ne serons pas en mesure de débloquer du contenu supplémentaire.
Conditions et information supplémentaire :
- Système d’exploitation minimum requis : Android 6.0.
- Achats in-app intégrés.
Je suis diplômée en droit et en journalisme, avec une spécialisation en criminologie et en journalisme culturel. Une de mes grandes passions ce sont les applications mobiles, en particulier les applications Android. Depuis plus de six ans, je...
Monique Laura Kop